Viols sur de très jeunes enfants commis par les "humanitaires"

Publié par Elsie HAAS sur 30 Mai 2008, 09:56am

Je sais, je sais...

Trop de mauvaises nouvelles.
C'est pas terrible pour le moral.
Faut-il pour autant, faire comme les trois singes ?
Pas vu, pas entendu, pas su ?
C'est ce qui s'est passé sous les Duvalier.
Chacun faisait comme si de rien n'était.
Ou bien déguerpissait quand il le pouvait.
Ces casques bleus qui sont en Haïti, qu'y font-ils exactement ?
Il y a une guerre civile comme en Côte d'Ivoire ?
Comme au Soudan ?
Comme au Congo ?
Il y a surtout beaucoup de misère et d'injustice.
Pourquoi n'y aurait-il pas également des Casques bleus au Brésil, en Argentine, au Honduras, en Colombie, à la Jamaïque, au Mexique ?
Ces pays ne sont-ils pas connus pour leur haut taux d'insécurité générée par le trafic de drogue, les paramillitaires, etc. ?
Pour la violence dans leurs favelas et barrios ?
Pourquoi ce plan d'occupation en 2004 ?
Quel est l'intérêt de casser ce pays ?
De deshumaniser sa population ?
Haïti aurait-elle des armes de destructions massives ?

D'un autre côté, depuis 2004, les riches se sont encore plus enrichis.
Comment peut-on augmenter sa fortune dans un tel chaos ?
Marguerite Laurent répond partiellement à ces questions dans son inventaire des ressources haïtiennes;

"Haïti Riches"

 http://www.margueritelaurent.com/pressclips/sfbayview.html#riches

Elisabeth, 12 ans, violée par dix Casques bleus en Côte d'Ivoire
Extraits:

«Déposer plainte? Mais la plupart des victimes ne le feront jamais! Les abuseurs sont ceux dont elles dépendent pour se nourrir», objecte un humanitaire onusien sous le couvert de l'anonymat. «La vérité, c'est qu'il faut être extrêmement solide pour faire ce boulot. Vous n'imaginez pas comme la tentation est forte. Le continent noir est si vulnérable... Toute l'Afrique est à vendre! Dans les zones d'intervention internationale, les gens sont traumatisés. Les pires abus sont commis à l'intérieur même des familles et des communautés. Il n'y a plus ni bien ni mal. Alors si les Casques bleus n'ont pas une sérieuse formation aux droits de l'homme, s'ils n'ont pas été choisis pour leur droiture, s'ils ne sont pas régulièrement envoyés en «décompression» dans une grande ville où ils peuvent accéder à la prostitution «légale», alors certains succombent à leurs pires fantasmes.»

«Quant aux humanitaires, ne les croyez pas à l'abri de leurs pulsions!» poursuit notre interlocuteur. «Les internationaux gagnent 15 à 20 fois plus que leurs collègues locaux, qui comptent pour 90% des employés. Ceux-ci sont recrutés au sein de cette population traumatisée. Ils sont engagés sur des contrats de courte durée. L'avenir n'est jamais assuré. Pour beaucoup, la motivation humanitaire est secondaire, la corruption banalisée et le vice à portée de main. Voilà les problèmes à résoudre. Il serait temps de les affronter.»

L'Article :

http://www.tdg.ch/pages/home/tribune_de_geneve/l_actu/monde/detail_monde/(contenu)/231099