Tandis que Barak Obama invitait à se tourner non vers le passé mais vers le futur et que d’autres voix s’élevaient pour dire que désormais “tout dépendait de Cuba” puisque ce pays était invité de fait à rejoindre l’OEA. Et qu’en matière de levée du blocus, Obama avait à tenir compte d’une opposition interne et devait aller à petit pas. Evo Morales répondait: Nous ne pouvons oublier le passé, puisque dans le passé est notre futur”. en ajoutant Barak Obama “a l’obligation de réparer les dommages économiques et politiques infligés à Cuba(1).
18 de abril 2009, “.Je voudrais que les accords et déclarations de cet événement international soient orientés vers l’unité de l’Amérique si elle inclut la présence de Cuba. Nous espérons que ce sera le dernier sommet de chefs d’Etat sans Cuba. C’est mon désir”, a affirmé le président de Bolivie, Evo Morales, durant un point de presse à Puerto España à Trinidad y Tobago, siège du Ve sommet.
Pour lui, son homologue étasunien Barak Obama “a l’obligation de réparer les dommages économiques et politiques infligés à Cuba”, pour cela, il aspire à ce que sa politique lève une fois pour toutes le blocus contre l’île antillaise, ce qui est une clameur générale du monde et des mouvements sociaux. Il a rappelé que seul les Etats-unis et Israël appuient l’embargo.
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