J’ai lu ça sur le net :
« Évoquant les malades du sida au cours de l'émission d'Antenne 2 L'Heure de vérité, le 6 mai 1987,JMPl déclare :
«Les sidaïques, en respirant du virus par tous les pores, mettent en cause l'équilibre de la Nation. (…) Le sidaïque, — si vous voulez, j'emploie ce mot-là, c'est un néologisme, il est pas très beau mais je n'en connais pas d'autre —, celui-là, il faut bien le dire, est contagieux par sa transpiration, ses larmes, sa salive, son contact. C'est une espèce de lépreux, si vous voulez », en précisant « en phase terminale ».
Au fait, qui est le successeur de JMP au FN? »
Au fait, est-ce que ce genre de prose ne rappelle pas celle des grenn-nanbounda (GNB) haïtiens ?
Notamment celle des zentellecuels VIP du dechoukaj de la dignité en 2004 qui, au lendemain du séisme envoyaient sur le net leurs déjections à base « des hommes qui sont aussi des rats » en parlant de prisonniers échappés de prisons suite à l’écroulement de l’édifice.
Les zentellectuels VIP du dechoukaj de la dignité ignorent, à l'inverse d'Amnesty International que dans les prisons haïtiennes croupissent pendant des années des hommes et des femmes qui ont commis de petits larcins; tandis que les criminels, les pédophiles, les voleurs à cravate se baladent dans les allées du pouvoir.
Ca, ils feignent de l’ignorer. Ca les arrange de fermer les yeux parce que cette racaille fait partie peu ou prou de leurs relations.
De même qu’ils ont été, ces zentellectuels VIP reponsables du dechoukaj de la dignité de 2004 qui a préparé l’arrivée de Martelly à la tête de la première République Noire au monde, les grands défenseurs de la paix des cimetières "d’avant ces vingt-cinq dernières années" comme disent ces bouffons.
De même, ils ont été, ces zentellectuels avides de prix et de décorations, responsables du retour de Duvalier Jean-Claude dont ils n’ont eu cesse de vanter les qualités, tout en se faisant, de manière totalement hypocrite et mensongère à base de « la belle amour humaine » titre volé à un véritable combattant de la liberté qui a payé de sa vie son engagement, une réputation pour la galerie- c’est-à-dire pour étrangers complices de ce virage à l’extrême droite, avides de grands titres à base d'Haïti la maudite et de démonisation des Haïtiens-, réputation totalement usurpée (comme le titre du roman) de femmes et d’hommes progressistes.
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