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Le Monde du Sud// Elsie news

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Haïti, les Caraïbes, l'Amérique Latine et le reste du monde. Histoire, politique, agriculture, arts et lettres.


Salon.Le temps des Zombis dans la campagne d'Hillary ( en anglais)

Publié par Camille Paglia sur 4 Juin 2016, 09:37am

Catégories : #INTERNATIONAL

Donc, Zombi time chez les roses en Haïti et idem dans le "rosy"  Hillaryland.

Coïncidences ?

En parlant de ceux désignés comme les "mouthpieces" de H. Clinton. Une expression négative, difficile à traduire, composée de mouth : bouche et pieces : pièces. Traduction littérale " des pièces de bouche".

Des personnes qui sont considérées comme des pièces d'un dispositif, en charge d'ouvrir la bouche.On pourrait la traduire par propagandistes. Cependant les propagandistes sont chargés de transmettre des idées, fausses peut-être, mais des idées quand même.

Les "mouthpieces", eux, l'ouvriraient pour  dire n'importe quoi et répéter ce n'importe quoi de manière assez bruyante pour occuper la part de "cerveau disponible" des gens. ( La stratégie d'employer des majuscules de SPP, un des mouthpiece des Tèt Kale sur le net)

Pour la comprendre, un exemple pris dans la réalité haïtienne : Hériveau, Lubérice, Doré, SPP, S. Lucas, S. Cybert pourraient être désignés comme des "mouthpieces " des Tèt Kale.

L'auteur de ce texte se demande, si les donc dénommés"mouthpieces" de Mme H. Clinton, après le rapport négatif du Département d'Etat sur les emails de Mme Clinton,  croient vraiment dans l'univers rose alternatif de Hillaryland.

Et s'ils pensent pouvoir s'en sortir en continuant à mentir. Bien sûr, ajoute-t-il, ces "mouthpieces" comptent sur la complicité des media pour les aider à faire leur "dirty work", leur sale boulot. (Idem en Haïti.)

Une question que l'on pourrait tout aussi bien poser aux mouthpieces des Tèt Kale, à la suite du rapport de la Commission de vérification. Et dans les mêmes termes.

L'auteur note le refus choquant de Mme H Clinton de rencontrer, dans le cadre de l'enquête sur ses emails, l'Inspecteur général, lequel s'est entretenu avec  tous les 4 autres Secrétaires d'Etat encore en vie, des deux dernières décennies.

Il fait remarquer, qu'un ex-conseiller de l'ex-président Clinton a publié, dans le Wall Street Journal, un article dans lequel il avance que Mme H. Clinton pourrait ne pas être la candidate nominée du parti Démocrate.

Il laisse entendre, une idée qui flotte dans l'air, qu'elle pourrait être remplacée par le tandem Bidden et Elisabeth Warren.

Ce contre quoi, à juste titre, s'insurge Sanders qui n'accepte pas, après avoir rudement bataillé et être arrivé, en dépit du blackout des media sur sa campagne, à  être écouté et apprécié dans le camp des électeurs du  parti Démocrate, à se voir doublé par Bidden et Warren.

Conclusion : dans le monde rose, celui du Hillaryland ou des Tèt Kale, on n'apprécie guère les rapports. Et on se met en mode zombi pour nier leurs conclusions.

Coïncidences encore ? 

 

Do they truly believe, in the rosy alternate universe of Hillaryland, that they can lie their way out of this? Of course, they’re relying as usual on the increasingly restive mainstream media to do their dirty work for them. If it were a Republican in the crosshairs, Hillary’s shocking refusal to meet with the Inspector General (who interviewed all four of the other living Secretaries of State of the past two decades) would have been the lead item flagged in screaming headlines from coast to coast. Let’s face it—the genuinely innocent do not do pretzel twists like this to cover their asses.

It’s zombie time at campaign Hillary. Behold the dead men walking! It was with strangely slow, narcotized numbness that the candidate and her phalanx of minions and mouthpieces responded to last week’s punishing report by the State Department’s Inspector General about her email security lapses. Do they truly believe, in the rosy alternate universe of Hillaryland, that they can lie their way out of this? Of course, they’re relying as usual on the increasingly restive mainstream media to do their dirty work for them. If it were a Republican in the crosshairs, Hillary’s shocking refusal to meet with the Inspector General (who interviewed all four of the other living Secretaries of State of the past two decades) would have been the lead item flagged in screaming headlines from coast to coast. Let’s face it—the genuinely innocent do not do pretzel twists like this to cover their asses.

 

Meanwhile, former Bill Clinton advisor and pollster Douglas Schoen gave the strongest signal yet in a Wall Street Journal op-ed this week (“Clinton may not be the nominee”) that worried backstage huddles in the Democratic party establishment are reaching fever pitch. The article’s floating of the idea of a Joe Biden-Elizabeth Warren substitute ticket (which I’ve been privately predicting to friends all year) is so evenly and magisterially phrased that I wondered if the text had been vetted by an approving White House. So this may be why Bernie Sanders (my candidate) has gone into overdrive—not to damage Hillary, as her acolytes spitefully claim, but to fight off the tactical insertion of Biden at the Democratic Convention in Philadelphia. Sanders could rightly claim, on the basis of his long and strenuous primary campaign, that if anyone deserves the nomination vacated by a tarnished Hillary, it is he. If Sanders does defer to Biden, it will only be via enormous concessions, beginning with the unceremonious removal of devious DNC chair Debbie Wasserman Schultz.

SUITE à :

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