Entendu pour la troisième fois à Paris, mi-janvier, selon La Lettre du Continent, à la suite de sa mise en examen pour « corruption passive d’agent public étranger, blanchiment en bande organisée de corruption passive, faux et usage de faux », l’ancien directeur de cabinet du président gabonais Ali Bongo, Maixent Accrombessi, s’est attaché les services de Francis Szpiner. Ce dernier est un familier du village franco-africain. Son premier fait d’armes : la défense de l’ancien « empereur » centrafricain Jean-Bedel Bokassa.
L'Afrique, oasis intarissable des avocats français
Enquête Sur le continent, la concurrence est rude entre les ténors du barreau parisien, alors que les chefs d'Etat affirment désormais privilégier l'expertise à la médiatisation de leurs doss...
Commenter cet article