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Le Monde du Sud// Elsie news

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Haïti, les Caraïbes, l'Amérique Latine et le reste du monde. Histoire, politique, agriculture, arts et lettres.


Folha. Le Brésil et l'Uruguay font pression sur l'exécutif haïtien pour qu'il organise les élections

Publié par siel sur 19 Décembre 2013, 14:27pm

Catégories : #NUESTRA AMERICA

Brasil e Uruguai pressionam haitianos a realizar eleição

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ISABEL FLECK
DE SÃO PAULO

 

Article :link

 

 

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Le Brésil avec 1120 soldats et l'Uruguay  avec 850 représentent  les plus importants contingents de la Minustah.

Extraits

 

"O chanceler brasileiro, Luiz Alberto Figueiredo, e o colega uruguaio, Luis Almagro, tiveram reuniões separadas com o presidente haitiano, Michel Martelly, na quarta-feira (27) para falar sobre o tema."

 

"Le ministre des Aff. étrangères, Luiz Alberto Figueiredo, et son collègue uruguayen, Luis Almagro, ont eu deux réunions séparées avec le président haïtien, Michel Martelly,  le 27 novembre, afin de discuter de ce point."

 

"Antes de seguirem para Porto Príncipe, os chanceleres dos dois países tinham se reunido em Nova York com o subsecretário-geral para Operações de Manutenção de Paz da ONU, Hervé Ladsous, para estudar o retiro gradual das tropas uruguaias."

 

Avant de se rendre à Port-au-Prince, les ministres des Aff. étrangères des deux pays ont rencontré à NY le Sous- secrétaire général pour les opérations de maintien de la paix, Hervé Ladsous, pour étudier le retrait graduel des troupes uruguayennes.

 

O presidente José Mujica já havia anunciado a decisão de trazer de volta seu efetivo, hoje em cerca de 850 militares.

Le président (de l'Uruguay) José Mujica avait auparavant annoncé sa décision de retirer ses troupes formées d'environ 850 militaires. 

Em entrevista à Folha/UOL na última quarta-feira, o ministro da Defesa, Celso Amorim, também disse que o Brasil não será "uma guarda pretoriana de nenhum presidente haitiano", mas que a retirada tem que ser "responsável". Dos 5.021 militares da missão, cerca de 1.120 são brasileiros.


 Dans un entretien au journal  Folha/UOL, le ministre de la Défense, Celso Amorim, a également déclaré que le Brésil ne sera  jamais " une garde prétorienne d'aucun président haïtien", nous devons nous retirer mais le faire de manière "responsable"

 

Cet article date du 27 novembre.

Rien de tout cela- pourtant d'une certaine importance- n'est sorti dans la presse haïtienne.

Etonnant ?

Pas du tout. 

La routine des 3 singes.



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