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Le Monde du Sud// Elsie news

Le Monde du Sud// Elsie news

Haïti, les Caraïbes, l'Amérique Latine et le reste du monde. Histoire, politique, agriculture, arts et lettres.


« Noyer les gens dans la merde » (sic), recommandait ainsi l’Américain Steve Bannon, idéologue et stratège trumpiste prisé par l’extrême droite française. Exactement ce qui s'est déroulé en Haïti dès 2004 et...

Publié par siel sur 30 Novembre 2023, 19:58pm

Catégories : #INTERNATIONAL, #ECONOMIE, #AYITI ROSE RAKET, #PEUPLE sans mémoire..., #DUVALIER

... qui s'est approfondi ( le trou de merde) avec la mise au pouvoir de l'association des malfaiteurs en bande organisée tèt kale et alliés.

Il faut voir comment depuis l'avènement de cette bande de malandrins le terme caca, dit kk est utilisé sur les réseaux sociaux. Un tsunami tel que je m'étais permise bien avant le "shithole" de Trump de qualifier Haïti de "kakaland". Et les partisans du PHTK de "cacaphile"  amoureux du caca.

Ce phénomène est international. Il semblerait qu'un certain nombre de gens font simplement dans l'imitation bête et méchante et le plaisir d'insulter dans l'incognito. Cependant, comme il s'agit d'une tendance internationale qui doit avoir derrière elle des communicateurs du style de ce type d'extrême droite étasunien Steve Bannon.

Et il ne serait pas surprenant de trouver derrière ce tsunami de "kk" un Antonio SOLÀ, de l'extrême-droite également, conseiller en communication des dirigeants woz/rakèt d'extrême -droite. Il faut garder en tête que ce M. SOLÀ a la réputation de faire des campagnes politiques sales. À savoir de présenter les adversaires de "son" candidat  comme des ennemis, des "diables" et instiller la peur dans l'électorat

Par ailleurs bien avant ça à l'époque où le "bandi légal " fait président par les CLINTON était un NINJA, il avait donné le ton avec son 100% KK pour désigner les partisans de Lavalas. Une campagne de médisances et d'injures à caractère pornographique et  scatophile. Les dirigeants haïtiens se sont transformés en "bayakou" de luxe, ils sèment la merde que les citoyens avalent tandis qu'eux récoltent des milliers de dollars. C'est la meilleure technique pour s'enrichir tout en polluant les âmes des pauvres qui se satisfont du pouvoir d'injurier.

Voci le début du texte signé par M. PLENEL et dont vous pourrez lire la suite sur le journal en ligne, mais il faut y être abonné.

« Jamais« Jamais le “pouvoir” politique n’a aussi peu mérité son nom. Jamais la “puissance publique” n’aura à ce point démissionné devant des enjeux vitaux, pour aujourd’hui et pour demain. » Visant l’impéritie et l’impuissance de ceux qui nous gouvernent face à l’urgence climatique, ces phrases inaugurales du Manifeste contre l’impuissance publique (Tracts Gallimard, 2022) du philosophe Dominique Bourg et de l’historien Johann Chapoutot s’appliquent parfaitement à leur attitude face à la dégradation accélérée et catastrophique de notre système d’information.


Nul hasard. Car, en s’arcboutant sur les périls qui menacent le vivant, ce Manifeste pose la question centrale d’une écologie de la politique capable, en se dressant à la hauteur de ce défi, d’enrayer le dérèglement démocratique qui précipite cette catastrophe. La démocratie ne saurait en effet se réduire à l’élection de représentants qui peuvent, au contraire, la ruiner si leur pouvoir n’est pas contrôlé et s’il n’est pas contrebalancé. Elle exige une délibération collective dont le ressort est la connaissance : connaître la réalité dans sa complexité, savoir ce qui nous arrive en somme éclairer le présent afin d’y voir clair.

Les États généraux (présidentiels) de l’information
En d’autres termes, une démocratie vivante est d’abord une démocratie informée. C’est cet enjeu qui motive et mobilise les États généraux de la presse indépendante, bien au-delà de questions professionnelles ou corporatistes. Organisés à l’initiative du Fonds pour une presse libre (FPL) et rassemblant plus de cent médias, organisations et collectifs – dont évidemment Mediapart –, ils promeuvent 59 propositions élaborées et discutées collectivement afin de libérer l’information des trois maux qui l’entravent, la corrompent et l’asservissent en France : la mainmise de milliardaires étrangers au métier d’informer ; les pressions des pouvoirs étatiques et des intérêts politiques ; l’avènement au cœur de l’espace public de médias de la haine. 


Qu’il s’agisse de la concentration, de l’actionnariat et des droits des rédactions (16 propositions), de renforcer le droit à l’information (14 propositions), de lutter contre la précarisation des journalistes (15 propositions) ou des aides publiques à la presse (14 propositions), toutes ces réformes ambitieuses convergent vers un seul et même but : restaurer la liberté, l’intégrité et la vitalité d’un journalisme d’intérêt public. C’est-à-dire d’un journalisme qui informe, et non pas d’un journalisme qui commente. D’un journalisme qui apporte des connaissances et des savoirs, et non pas d’un journalisme qui assène des opinions et des préjugés.
 

 

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