Dans quel objectif la Minustha veut-elle imposer au peuple haïtien de faire l'impasse sur les fraudes ?
Il existe plusieurs hypothèses qui se rejoignent.
Les connaissez -vous ?
Faîtes fonctionner vos neurones. Réfléchissez !
Voici une institution qui refuse de reconnaître ses responsabilités dans l'introduction du choléra en Haïti.
La même institution qui refuse également de punir ses membres qui ont abusé sexuelllement, dans quel que soit le pays dans le monde, de mineurs filles et garçons.
C'est l'exacte et même institution que vient de quitter un de ses membres, Anders Kompass, qui se plaint d'être victime de harcèlement depuis qu'il a dévoilé les abus sexuels commis par les soldats français en Centrafrique.
Et qui dénonce l'absence de réaction des zotobre de l'institution :
"La hiérarchie n'a émis aucun regret, ce qui prouve bien", conclut Anders Kompass, "que l'ONU n'a pas l'habitude de rendre des comptes".
Il faut dire que les Nations unies jouissent d'une totale impunité. Si des casques bleus commettent de fautes, c'est à leurs pays respectifs de les sanctionner. Mais trop souvent, les peines sont très légères par rapport aux faits commis, des sanctions administratives voire quelques mois de prison tout au plus."
Un dossier qui était resté planqué dans des placards pendant des mois, aucune des zotorite ne voulant y toucher, et lui qui en avait marre de cette ormeta sectaire, l'a fait parvenir au gouvernement français.
Vous remarquerez que ce n'est pas le genre d'information que vous lirez dans la presse haïtienne- alors que cela devrait intéresser le public puisque des abus similaires ont été signalés en Haïti, non pas par la MINUSCA mais par la MINUSTHA (mèm bèt mèm poèl)
En décembre 2013, la guerre entre chrétiens et musulmans fait rage. La France envoie la mission Sangaris tandis que l'ONU déploie la MINUSCA. Face aux atrocités, les civils se réfugient sur une piste d'aéroport, et dorment à la belle étoile. Les soldats français sont chargés de protéger ces civils, et certains en profitent.
Ils proposent des babioles ou des friandises aux enfants, en échange de faveurs sexuelles. Certains casques bleus vont plus loin, et soumettent ces enfants à des jeux sexuels avec des animaux.
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